GrĂšveĂ  la crĂšche de Vellefaux ce jour face aux menaces pesant sur l’accueil et l’encadrement. « Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » Pour soutenir votre journalisme local, abonnez-vous ! Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne s’appuie dans sa mobilisation sur l’avis dĂ©favorable Ă©mis le 15 avril 2021 par le conseil d’administration de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) sur le projet de dĂ©cret mettant en Ɠuvre certaines dispositions de l’ordonnance, concernant notamment l’encadrement et la qualification en accueil Lecollectif «Pas de BĂ©bĂ© Ă  la Consigne», rĂ©unissant des professionnelles de la petite enfance, s’est rĂ©uni ce jeudi en face de l’hĂŽtel de ville pour faire entendre sa colĂšre. A la Bonjour Les crĂšches et les maternelles sont en danger Ă  cause d'un projet de dĂ©cret proposĂ© par Nadine Morano (SecrĂ©taire d'Etat chargĂ©e de la Famille et de la SolidaritĂ©, auprĂšs du ministre du Travail, de la SolidaritĂ© et de la Fonction publique) ConcrĂštement, ce dĂ©cret ferait en fait Carpentras: "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne !" Le personnel des crĂšches manifeste contre la rĂ©forme Taquet Hier matin, devant l'hĂŽtel de ville de Carpentras, une centaine de personnels des Lecollectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne est informĂ© que des professionnel·les de la petite enfance envisagent de rejoindre des journĂ©es d’action comme celles concernant la fonction publique le 31 mars ou les services de santĂ© le 7 avril.. A cette occasion, Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelle ses propositions soumises aux candidat·es aux Ă©lections uWMzdd. La CGT de la ville de Lyon tient Ă  remercier tous les agents, les parents ainsi que les employĂ©s des crĂšches privĂ©es et associatives qui se sont mobilisĂ©s ce 28 mars Ă  l’appel du collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ». A la ville de Lyon 270 agents se sont dĂ©clarĂ©s grĂ©vistes, 3 crĂšches Ă©taient fermĂ©es et 38 partiellement ouvertes sur les 52 que compte la ville, grĂące entre autres au travail de terrain de la CGT. MalgrĂ© le succĂšs de cette mobilisation, plus de 300 personnes prĂ©sentes au rassemblement, celui-ci laisse un goĂ»t amer. La dĂ©lĂ©gation reçue Ă  la prĂ©fecture n’était pas reprĂ©sentative du collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne », Ă©tant composĂ©e uniquement de reprĂ©sentants syndicaux de la CFDT. Les militants CGT pourtant prĂ©sents en nombre n’ont pas Ă©tĂ© conviĂ©s Ă  rejoindre la dĂ©lĂ©gation. A leur retour la dĂ©lĂ©gation qui devait reprĂ©senter le collectif, les reprĂ©sentants CFDT nous ont fait part de l’entretien et des revendications portĂ©es. Celles-ci ne vont pas le sens des revendications de Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ». La dĂ©lĂ©gation s’est bornĂ©e Ă  demander que l’ordonnance contre laquelle nous nous battons devienne une loi parce qu’une loi est amendable ». Nous avons Ă©tĂ© interpellĂ©s par de nombreux manifestants nous demandant si nous Ă©tions d’accord avec la dĂ©claration citĂ©e. Pour nous, Ă  la CGT, la sĂ©curitĂ© de nos enfants, leurs conditions d’accueil, la dĂ©gradation des conditions de travail des agents et du service rendu sont trop graves pour rĂ©sumer cette loi rĂ©trograde Ă  un simple problĂšme lĂ©gislatif, quelle que soit la forme, ordonnance, dĂ©cret ou loi, nous sommes et serons toujours contre. Cette rĂ©forme rĂ©trograde aura des consĂ©quences sur la qualitĂ© d’accueil de nos enfants, du nombre d’enfants accueillis par mĂštre carrĂ© dans une crĂšche, du nombre de personnel prĂ©vu pour le taux d’encadrement. Nous continuerons Ă  nous battre et mettrons tout en Ɠuvre afin de rendre un service public de qualitĂ© partout et pour tous. Le 29 mars 2019 PubliĂ© le 24/03/2010 Ă  1054 Les slogans Ă©taient recherchĂ©s, comme cela est souvent le cas lorsque le sort des enfants est en jeu. Ni sardines, ni Ă  la consigne, les bĂ©bĂ©s garderont bonne mine ! », expliquent avec le sourire les membres du collectif animĂ© par des acteurs de la petite enfance. Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! » parents et professionnels s'Ă©tait fortement mobilisĂ© pour la journĂ©e d'action du jeudi 11 mars avec un grand nombre d'Ă©tablissements dans l'action. Hier, la crĂšche d'Agen Ă©tait fermĂ©e ; du personnel de crĂšches associatives s'Ă©tait dĂ©placĂ© Ă  la manifestation. Nous voulons prĂ©server la qualitĂ© de l'accueil des tout-petits », commente Karol Dubois, secrĂ©taire du syndicat des territoriaux de la CGT, une des composantes du collectif. En cause, le retrait du dĂ©cret contestĂ©. DĂ©cret dĂ©criĂ© A Agen hier, une dĂ©lĂ©gation a Ă©tĂ© reçue par le directeur de cabinet du maire d'Agen, Jean Dionis du SĂ©jour. Une motion lui fut remise Ă  dĂ©faut de rencontrer le dĂ©putĂ©-maire ».Personnels et parents refusent les dĂ©gradations annoncĂ©es par le gouvernement sur la qualitĂ© des modes d'accueil des jeunes enfants ». Le collectif rĂ©clame Ă©galement l'ouverture de nĂ©gociations sur l'accueil des petits. Sans rĂ©ponse favorable, le principe d'une journĂ©e nationale est dĂ©cidĂ© pour le jeudi 8 avril. Le collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" qui regroupe associations professionnelles et syndicats de la petite enfance,s'oppose Ă  une proposition de loi prĂ©sentĂ©e Ă  l'assemblĂ©e nationale le jeudi 29 avril. Cette loi vise Ă  autoriser le regroupement d'assistantes maternelles en une mĂȘme structure. La proposition de loi La loi permettrait la crĂ©ation de maisons d'assistantes maternelles Ă  partir de 4 assistantes, dans un local hors du domicile, chaque assistante pouvant prendre en charge 4 enfants. Ces maisonspourraient donc accueillir jusqu'Ă  16 enfants. Les assistantes seraient payĂ©es directement par les parents. Ces derniers emploieraient une seule assistante mais pourraient autoriser celle-ci Ă  dĂ©lĂ©guer temporairement la garde de leurs enfants Ă  leurs collĂšgues travaillant dans la mĂȘme maison. Selon le sĂ©nateur Jean Arthuis, Ă  l'origine du projet de loi, ces maisons » d'assistantes maternelles seraient une solution pour les parents qui travaillent en horaires atypiques ou qui vivent en zone rurale, pour les communes qui ne peuvent soutenir la crĂ©ation d'une crĂšche, pour les assistants maternels qui veulent rompre leur isolement» Les professionnels en colĂšrePour le collectif, cette proposition de loi ne permet pas de satisfaire aux exigences minimales que supposent de tels dispositifs d'accueil. Ils mettent notamment en avant l'insuffisance de qualification et d'expĂ©rience de l'accueil collectif des assistants maternels ». Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rĂ©clame donc le retrait en l'Ă©tat de cette proposition de loi. D'ores et dĂ©jĂ , le collectif annonce une journĂ©e de grĂšve gĂ©nĂ©rale de la petite enfancelejeudi 6 mai etune manifestation Ă  caractĂšre national parents-professionnels lesamedi 29 mai. AccueilClub Education et Vie scolaireActualitĂ©s Education et Vie scolaireToute l'actu Education et Vie scolaireActu expert Education et Vie scolairePas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne relance la mobilisation contre le dĂ©cret Morano Petite enfance PubliĂ© le 02/02/2011 ‱ dans Actu expert Education et Vie scolaire, Actu expert santĂ© social, France Suite Ă  une rencontre nationale organisĂ©e le samedi 29 janvier 2001 Ă  Paris, le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne, qui rĂ©unit des professionnels de la petite enfance et des parents, a dĂ©cidĂ© de remobiliser ses troupes le 11 mars 2011, annonçant des initiatives diverses dans de nombreuses villes grĂšve, manifestations ou rassemblements, dĂ©bats publics ». Ma Gazette SĂ©lectionnez vos thĂšmes et crĂ©ez votre newsletter personnalisĂ©e Notre colĂšre n’est pas retombĂ©e », explique Birgit Hilpert, Ă©ducatrice de jeunes enfants et l’une des porte-parole du collectif pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne, nous prĂ©senterons dans les prochains jours notre Plan d’urgence pour l’accueil de la petite enfance ».Dans le document de travail de ce Plan d’urgence, le collectif exige, notamment le retrait du dĂ©cret Morano sur l’accueil collectif des jeunes enfants contre lequel le collectif a dĂ©posĂ© un recours en Conseil d’État en aoĂ»t 2010,l’amĂ©lioration des taux actuels de professionnels qualifiĂ©s et des ratios d’encadrement,un plan ambitieux de formation de professionnels qualifiĂ©s pour crĂ©er places d’accueil manquantes,l’accĂšs des professionnels ayant un CAP petite enfance et des assistantes maternelles agréées qui le souhaitent ... [70% reste Ă  lire] Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Club SantĂ© Social, Club Éducation et vie scolaire VOUS N'ĂȘTES PAS ABONNĂ© ? Testez notre Offre DĂ©couverte Club SantĂ© Social pendant 30 jours J’en profite Nos services PrĂ©pa concours ÉvĂšnements Formations En deux mois les de la petite enfance ont Ă  nouveau fait grĂšve Ă  deux reprises dans toute la France, en dĂ©pit des contraintes de la crise sanitaire, pour une rĂ©forme des modes d’accueil favorable aux tout petits. Ce 30 mars, comme en fĂ©vrier, des centaines de crĂšches Ă©taient dans le mouvement, et les dans la rue dans 40 villes, 1300 Ă  Paris, 250 Ă  Toulouse, 200 Ă  Lyon et Nice, 150 Ă  Montpellier et une centaine Ă  Marseille, Pau, Limoges, Dijon, Carcassonne, Toulon... Sur la page facebook du ministĂšre de la santĂ©, plus de 100 tĂ©moignent sur les conditions actuelles d’accueil dans les crĂšches et dĂ©noncent leur prochaine aggravation si la rĂ©forme venait Ă  s’appliquer. Il y a plusieurs mois, la Commission des 1000 premiers jours Ă©mettait des prĂ©conisations pour un accueil de qualitĂ© dont aucune n’est retenue dans la rĂ©forme gouvernementale. Reçus par le directeur de cabinet d’Adrien Taquet, aucune de nos demandes pour assurer la qualitĂ© d’accueil la plus Ă©lĂ©mentaire n’a trouvĂ© grĂące aux yeux du gouvernement ni l’extension Ă  12 heures par an du temps d’analyse de pratiques en crĂšche et son application de droit aux assistantes maternelles, ni l’exclusion des apprentis du calcul du taux d’encadrement, ni le principe de prĂ©server un taux d’encadrement des bĂ©bĂ©s d’un pour cinq en cas de choix par le gestionnaire d’un taux moyen d’un pour six, ni la conservation d’un ratio 40/60 en permanence et pas en "moyenne annuelle". Le grand Ă©cart entre les dĂ©clarations de principe ‐ rĂ©fĂ©rence permanente Ă  la charte d’accueil du jeune enfant ‐ et les mesures concrĂštes de la rĂ©forme se confirmerait‐il comme la marque de fabrique de la politique gouvernementale envers la petite enfance ? Nous ne nous rĂ©soudrons pas Ă  abandonner la cause des tout petits. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appelle les de la petite enfance, les parents, les les Ă  tĂ©moigner inlassablement de la rĂ©alitĂ© actuelle dans les modes d’accueil et de leur opposition Ă  voir la qualitĂ© d’accueil se dĂ©grader encore tĂ©moignages sur Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne tiendra une visioconfĂ©rence de presse le mercredi 14 avril Ă  11h lien Ă  venir. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appellera prochainement les parents et les Ă  de nouvelles mobilisations pour un vĂ©ritable printemps des modes d’accueil.

pas de bébés à la consigne