Selonl’association Vivre et agir en Maurienne, le chantier détournerait jusqu'à cinq millions de mètres cubes d'eau par an, soit l'équivalent de la consommation d'eau de 200 000 habitants.
Gaspillaged'eau: comment éviter le zéro de conduite? Pour une ressource aussi précieuse, dont on craint des pénuries à cause du réchauffement climatique d'ici à la fin du siècle, il y a
n1qaMX. BPJEPS canoë-kayak et disciplines associées en eau vive jusqu’à la classe III, eau calme, mer jusqu’à 4 beaufort Depuis 2003, notre organisme de formation, également Centre de formation d’apprenti – CFA depuis 2019, ne cesse de se réinventer pour garantir un niveau d’excellence à la hauteur de vos ambitions et vous donner les moyens d’être acteur de votre épanouissement personnel et professionnel. Nous sommes fiers de vous proposer une offre de formation complémentaire pour acquérir, développer et renforcer vos compétences. Chaque parcours de formation est adapté aux enjeux d’un métier et se distingue en moyenne par 96% de réussite et 85% de satisfaction. A Nautisme en Île-de-France, l’individu est placé au centre du dispositif par l’intermédiaire d’un parcours construit sur-mesure. Le Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Education Populaire et du Sport est un diplôme du Ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports. Il est composé de plusieurs unités capitalisables. Tout ou partie du diplôme peut être validé. Coordinateur Gauthier Vanden Abeele Calendrier Date limite de dépôt des dossiers d’inscription Tests d’Exigence Préalable à l’entrée en formation & Tests de positionnement OBJECTIFS DU DIPLÔME Encadrer, conduire en eau vive, en eau calme et en mer, individuellement et collectivement jusqu’au premier niveau de compétition fédérale des actions d’animation pour les activités de canoë-kayak sur tout support ou embarcation propulsée à la pagaie ou à la nage dont le stand up paddle ; Encadrer individuellement et collectivement et conduire des actions d’apprentissage des activités du canoë-kayak et disciplines associées dans les trois milieux jusqu’au premier niveau de compétition fédérale ; Conduire des actions de découverte, d’apprentissage et d’activités de loisirs de pleine nature du canoë-kayak et des disciplines associées ; Organiser et gérer des activités du canoë-kayak et disciplines associées ; Communiquer sur les actions de la structure ; Assurer la sécurité des pratiquants, des pratiques et des lieux de pratiques ; Participer au fonctionnement de la structure organisatrice des activités du canoë-kayak et disciplines associées. Détails de la formation VolumeAccessibilitéPré-requisDébouchés 21 mois de formation 702h en centre de formation et 26h en digital Learning Jusqu’à 2394h en structure d’alternance A partir de 16 ans. L’entrée en formation est conditionnée par la réussite à des prérequis et tests de sélection. Cette formation est accessible aux personnes en situation de handicap. Yoan picard, référent handicap O6 61 99 01 candidat doit satisfaire à des Tests d’Exigence Préalable à l’entrée en formation – TEP être titulaire d’une attestation de formation relative au secourisme, d’un certificat médical, d’une attestation de natation et être capable de réaliser des gestes techniques communs aux activités du canoë-kayak. Des épreuves de sélection sont organisées afin de ne retenir que les candidats motivés. Informations complètes dans la plaquette de formation. Le parcours de formation conduit à un métier. Le moniteur de canoë-kayak titulaire du BPJEPS interviendra en eau vive, eau calme et en mer. Il enseignera principalement dans des structures associatives clubs affiliés à la FFCK ou des structures déconcentrées de cette dernière comités départementaux et régionaux. Il pourra ainsi encadrer tous les publics en s’appuyant sur les dispositifs de la Fédération Française de Canoë Kayak et sports de pagaie FFCK ; entraîner jusqu’au premier niveau de compétition ; soutenir le développement d’une structure. Il pourra postuler ultérieurement à un DEJEPS. PROGRAMME Le parcours de formation a été co-construit par notre équipe pédagogique. Il vise trois priorités l’obtention du diplôme, l’accès à un métier et une employabilité pérenne. La formation s’articule autour de temps en organisme de formation et en structure d’alternance. Chaque séquence en organisme de formation s’organisent autour des quatre blocs de compétences ci-dessous. Pédagogie Compétences visées Réglementation, sécurité, encadrement, etc. Entrainement Compétences visées Sciences humaines et socle théorique, méthodologie de l’entrainement, technicité, etc. Gestion de structure Compétences visées Communication orale, écrite et numérique ; développement ; contexte professionnel Gestion de projet Compétences visées Méthodologie de gestion de projet, animation de projet, gestion d’équipement, etc. Diplômes complémentaires Coach Pagaie Fit ; Habilitation à la certification des pagaies couleurs ; Entraineur fédéral 1. Suivez la procédure ci-dessous pour vous inscrire en formation. Nous prendrons contact avec vous dans quelques jours pour échanger sur votre projet. 1 Remplissez le formulaire de contact 2 Réservez un créneau pour échanger sur votre projet 3 Téléchargez la plaquette de présentation et le dossier d'inscription i 4 Complétez votre dossier d'inscription avant la date limite Témoignages Your content goes here. Edit or remove this text inline or in the module Content settings. You can also style every aspect of this content in the module Design settings and even apply custom CSS to this text in the module Advanced settings. Stagiaire aviron Your content goes here. Edit or remove this text inline or in the module Content settings. You can also style every aspect of this content in the module Design settings and even apply custom CSS to this text in the module Advanced settings. JérémyStagiaire aviron
Après avoir pris des mesures plus restrictives d’eau pour la Haute-Corse, le préfet du Cismonti s’est exprimé mercredi 3 août devant les médias. Pour lui, "il ne s’agit pas de crier au loup mais de regarder l’état des réserves". "Si nous continuons à ce rythme de consommation d’eau, compte tenu des évolutions météorologiques attendues, il n’y aura plus d’eau dans 25 jours". Moins de 24 heures après avoir tiré la sonnette d’alarme et mis en place de nouvelles mesures restrictives dans le Cismonti, le préfet de Haute-Corse est revenu, ce mercredi face aux médias, plus en détail sur les raisons de sa décision. "25 jours, c’est le nombre de jours qui nous restent pour l’instant de ressources en eau, à consommation inchangée", explique-t-il avant de répondre à certaines critiques quant à une situation qui serait "moins alarmante" que celle annoncée par les autorités. "Il ne s’agit pas de crier au loup mais de regarder l’état des réserves, explique François Ravier. Ce diagnostic a été fait hier lors d’une réunion en présence de l’Office d’équipement hydraulique de Corse, de lOdarc, de la chambre d’agriculture, de la Collectivité de Corse et de l’ensemble des filières." Et le préfet du 2B de marteler "Il ne s’agit donc pas de crier au loup mais de dire la vérité et de lancer un appel fort et solennel à la responsabilité et à la solidarité de tous pour que ce nombre de jours qui nous reste de ressources en eau puisse être allongé le plus possible grâce à des usages conformes au contexte que nous connaissons." Le point presse de François Ravier, préfet de Haute-Corse Équipe journalistes A. De La Taille - G. Leonetti Si de nouvelles mesures ont été prises concernant les agriculteurs passage d’une interdiction d’arrosage de 24 heures à 36 heures par semaine, celles pour les particuliers ont été renforcées. Les contrôles vont également s’intensifier. "C’est compliqué à mettre en place car, par définition, on ne met pas un gendarme ou un policier derrière chaque personne mais il faut qu’on fasse des contrôles, souligne le préfet. L’explication et la pédagogie sont nécessaires et le contrôle l’est tout autant. Quelles que soient les filières ou les pratiques, on a des personnes qui respectent les règles et d’autres non." Selon François Ravier, les contrôles effectués révèlent des infractions quant au non-respect de l’arrêté dans "3 cas sur 4". Il insiste sur le fait qu’il ne faut "pas mettre l’accent uniquement sur les agriculteurs". "Tous les autres usages de l'eau sont aussi importants", précise-t-il tout en rappelant que "même si les objectifs de réduction d’eau n’ont pas été atteints, ils ont quand même réduit petit peu. Cela veut dire qu’il y a eu un vrai effort." Ce mercredi soir, Gilles Giovannangeli, président de l’Office d’équipement hydraulique de Corse, a publié un communiqué dans lequel il revient sur les déclarations, la veille, du préfet au sujet des "25 jours". "Nous ne remettons pas en cause la nécessité des restrictions qui doivent conduire à des économies d’eau dans un contexte climatique très tendu, avec un mois de juillet 2022 qui a été le plus chaud de l’histoire, est-il écrit dans le texte. Néanmoins, lors du CRE comité de ressources en eau du 02 août 2022, nous avons fait savoir à Monsieur le Préfet de Haute-Corse notre désaccord sur le message diffusé quant à une absence de ressource disponible dans 25 jours. Pour notre part, nous en appelons à la responsabilité de l’ensemble des particuliers, collectivités, entreprises, agriculteurs à respecter les termes du nouvel arrêté du 2 août 2022. Cet effort collectif couplé à une gestion optimale de nos réseaux nous permettra de conserver des ressources disponibles jusqu’à la fin de la saison." Quant à savoir si ces nouvelles mesures seront suffisantes pour éviter une pénurie d’eau d'ici la fin du mois, la réponse dépend de "l’appel lancé à la responsabilité de tous" rétorque le préfet du Cismonti. Et d'ajouter "S’il fonctionne, dans 25 jours, on espère qu’il se passera le moins de choses possible. C’est-à-dire qu’on aura gagné des jours de consommation en eau. Autrement, un comité de ressources en eau se réunira la semaine prochaine et pourra décider de mesures éventuellement plus sévères et restrictives à partir du moment où l’on rentrerait dans les derniers jours de la ressource en eau pour cette saison."
Le Lundi 22 novembre 2021 L’assainissement a pour fonction de collecter les eaux usées, puis de les débarrasser des pollutions dont elles sont chargées avant de rejeter l’eau ainsi traitée dans le milieu naturel. Le traitement des eaux usées produit des boues qui sont ensuite valorisées ou éliminées. On distingue deux grands types d’assainissement - l’assainissement collectif réseau de collecte et station de traitement des eaux usées ; - l’assainissement non collectif ou individuel ou autonome. Le choix entre ces deux solutions relève de la commune et dépend notamment de la densité de l’habitat, de la topographie des lieux et des coûts associés à chacun de ces types d’assainissement. Les eaux pluviales peuvent rejoindre le réseau d’assainissement ou bien être gérées séparément avant rejet dans le milieu récepteur. L’assainissement collectif réseau de collecte et station de traitement des eaux usées L’assainissement collectif concerne toutes les habitations raccordées à un réseau public de canalisations destinées à acheminer les eaux usées à une station d’épuration pour traitement avant rejet au milieu naturel très majoritairement un cours d’eau. Ces ouvrages et équipements de collecte et de traitement appartiennent le plus souvent à une commune ou un groupement de communes. Pour en savoir plus sur la réglementation relative à la collecte et au traitement des eaux usées, les 20 000 stations de traitement des eaux usées des communes françaises description, fonctionnement,… et trouver des liens vers des documents techniques relatifs à l’assainissement collectif consultez le portail de l’assainissement communal. Le portail de l'assainissement communal L’assainissement non collectif ou individuel ou autonome C’est l’assainissement des habitations qui ne sont pas raccordées au réseau public de collecte des eaux usées, appelé familièrement égout. On trouve généralement ce mode d’assainissement fosses toutes eaux et épandage par exemple en milieu rural, car il est adapté aux habitations isolées, là où la construction d’un réseau de collecte des eaux usées reviendrait trop chère. En France, on compte environ 5 millions d’installations d’assainissement non collectif qui concernent 15 à 20 % de la population. Anciennes ou mal entretenues, les installations peuvent être défectueuses. Ces installations peuvent alors constituer un danger pour la santé des personnes ou un risque de pollution de l’environnement. C’est pourquoi elles doivent être entretenues et contrôlées régulièrement par le service public d’assainissement non collectif SPANC et faire l’objet, si nécessaire, de travaux. Pour en savoir plus, consultez le portail de l’assainissement non collectif. Le portail de l'assainissement non collectif Les boues issues du traitement des eaux usées Les différents procédés de traitement des eaux usées conduisent à la production de boues. Les boues contiennent une partie des éléments qu’il est nécessaire de retirer des eaux avant leur rejet vers le milieu naturel Matière organique, azote et phosphore. Elles sont récupérées en sortie de station et sont traitées, valorisées et/ou éliminées. Elles sont valorisées par l’épandage en agriculture ou par l’incinération, ou sont éliminées par mise en décharge. En agriculture elles sont valorisables comme fertilisant des cultures, afin de leur apporter les éléments nutritifs nécessaires à leur croissance ou comme amendement des sols dans le but de maintenir leur caractéristique agronomique. Elles sont toutefois susceptibles de contenir des composés indésirables Éléments traces métalliques ou composées traces organiques. C’est pourquoi les boues valorisées sur les sols font l’objet d’un suivi strict de leur qualité. En France une part conséquente des boues est valorisée en agriculture. Pour en savoir plus sur la réglementation relative à l’épandage des boues, la production et le devenir des boues des communes françaises, consultez le portail de l’assainissement communal. Le portail de l'assainissement communal La gestion des eaux pluviales En France métropolitaine et outre-mer, depuis les années 80, entre 200 à 250 km² sont imperméabilisés annuellement ce qui représente l’équivalent d’un département français tous les 25 ans à 30 ans. Le développement de ce type de surface, ne permettant pas l’infiltration des eaux pluviales, accélère leur ruissellement. Les enjeux de sécurité publique inondation, de protection de l’environnement et de santé publique dégradation des milieux superficiels voir souterrains notamment à cause des rejets d’assainissement par temps de pluie sont importants. Les techniques traditionnelles de gestion des eaux pluviales utilisées jusqu’à présent réseaux pluviaux stricts et réseaux unitaires permettant d’évacuer rapidement les eaux montrent leurs limites et ont amené différents acteurs dont les ministères en charge de l’écologie et du logement à se questionner sur la pertinence de ce mode de gestion et à envisager d’autres approches pour répondre aux problématiques précédemment mentionnées. Pour en savoir plus, consultez le portail sur la gestion des eaux pluviales. Afin de structurer la politique nationale sur la question de la gestion des eaux pluviales, le ministère de la transition écologique, en partenariat avec le ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales et les différentes parties prenantes concernées associations d'élus, fédérations d'entreprises privées et acteurs opérationnels, ..., a élaboré un 1er plan d'action national pour une gestion durable des eaux pluviales. Couvrant la période 2022-2024, celui-ci a notamment pour ambition de mieux intégrer la gestion des eaux pluviales dans les politiques d’aménagement du territoire, de faire de ces eaux non plus une contrainte mais une ressource notamment dans la lutte contre les effets du changement climatique et de réduire leur impact sur la qualité des milieux aquatiques et la ressource en eau. Par ailleurs, ce plan d'action vient en articulation de nombreux sujets d’actualité nature en ville ; préservation de la ressource ; lutte contre les îlots de chaleur ; prévention des inondations ; préservation de la biodiversité et des milieux humides, et plus globalement ville durable », notamment dans le cadre du label EcoQuartier, etc. Le portail sur la gestion des eaux pluviales Gestion durable des eaux pluviales - le plan d'action PDF - Mo Recueil des textes réglementaires concernant l’assainissement et la gestion des eaux pluviales Pour en savoir plus, consultez le recueil de textes. Recueil des textes réglementaires concernant l’assainissement et la gestion des eaux pluviales Origine et gestion de la sécheresse Protection de la ressource en eau
Pour une estimation fiable de l’évapotranspiration maximale, on utilise les coefficients culturaux, qui sont obtenus à partir des résultats de nombreuses expérimentations agronomiques. L’évapotranspiration est mesurée expérimentalement puis comparer à l’ETref pour tirer le Kc. L’eau contenue dans le sol est retenue par des forces de tension superficielle. Ces forces sont donc caractérisées par une variable appelée communément tension, exprimée en unité de pression cbar. L’organe de mesure est inclus dans la capsule constituée d’un matériau poreux, dont la tension hydrique sous certaines conditions, devient égale à celle du sol environnant. Les capsules sont placées à la profondeur voulue en différents points de la parcelle. Les sondes électriques sont constituées, d’une part des sondes proprement dites placées dans le sol et d’autre part, d’un boîtier permettant, après branchement sur une sonde - D’analyser ce signal et de le traduire en termes de 3 un tensiomètre et son cadran manomètrePhoto4 Les sondes avec un thermomètre introduit dans le sol et le boîtier pour lire les de lecture Mise en place Apres avoir monté les sondes on doit les introduire dans l’eau pendant deux à trois heures. En suite, on doit préparer un avant-trou à l’aide d’une barre métallique de même diamètre que le tensiomètre, sur laquelle on fait un repère de profondeur désirée. Le tensiomètre est alors placé de force jusqu’à la profondeur voulue. La profondeur des sondes La profondeur des sondes est généralement choisie par l’irrigant, mais selon la culture et son stade physiologique. Chaque fois, on fait des profils du sol à côté des racines pour déterminer la profondeur racinaire la plus active. C’est donc cette profondeur là qui doit être ciblée par l’irrigant pour les sondes de surfaces. La sonde de profondeur est installée dans la profondeur racinaire la moins active pour contrôler les pertes par infiltration. Dans le cas des agrumes les premiers sont enfouies à une profondeur de 30 cm les deuxièmes à 60cm. – Les avantages Contrairement aux tensiomètres classiques L’absence du circuit hydrique permet une préparation très simplifiée, une maintenance en état de fonctionnement grandement facilitée, une bonne résistance au gel et un stockage sans problème. La gamme de mesure est plus étendue vers les fortes tensions, jusqu’à 200 cbars. – Les inconvénients Ce sont des appareils très coûteux, six paires de sondes et un boîtier coûtent 7000 dh ; Leur utilisation nécessite un réglage sur le boîtier en fonction de la température. Il faut donc mesurer cette température, ce qui nécessite un thermomètre du sol ; Leur utilisation nécessite une main d’œuvre qualifiée ; Amortissables sur quatre ans. Le plus grand inconvénient est le risque d’endommager l’appareil pendant la mise en place forcée. 1- Pilotage de l’irrigation localisée des agrumes par la méthode du dendromètre. La détermination du volume d’eau à apporter aux cultures et du moment opportun pour déclencher l’irrigation sont souvent décidés à partir de contrôles indirects de l’état hydrique du sol, si non, par simple appréciation visuelle. Or, le végétal est le meilleur indicateur de son propre état et de ses interactions avec le milieu. Dans ce contexte, plusieurs méthodes directes, notamment la teneur en eau des feuilles et le potentiel hydrique foliaire, ainsi que des méthodes indirectes, telles que la résistance stomatique et la température foliaire, ont été proposées. Elles exigent des mesures destructives, difficiles à mettre en œuvre, demandent de longues manipulations et leur automatisation n’est pas facile. L’une des méthodes indirectes consiste à suivre les micro-variations du diamètre des organes végétaux et en particulier de la tige Elias-Nassif, 1998. En effet, PEPISTA est un dendromètre développé par INRA France en 1984. Il mesure le diamètre de la plante et indirectement l’état de turgescence de ses cellules afin d’ajuster l’irrigation au plus près des besoins des plantes. IL est doté pour cela d’un capteur micro-morpho-métrique qui peut être placé sur différentes parties du végétal tige, branche ou fruit. Ce capteur mesure le grossissement et la contraction de l’organe en question au centième de millimètre. La méthode PEPISTA fait appel à un dispositif automatique et autonome. Il a pour vocation d’ajuster l’irrigation au plus près des besoins des plantes, grâce à la mesure très précise des variations du diamètre de la ramification. L’interprétation des mesures a comme objectif de repérer le moment d’irrigation de la culture en question, en s’appuyant sur l’analyse simultanée de l’intensité des pertes provisoires de diamètre au cours de la journée et du bilan d’évolution croissance ou décroissance au pas de 24 heures. – Principe de PEPISTA Le système PEPISTA est basé sur un principe de biologie très simple. Pour assurer son activité de photosynthèse, une plante absorbe l’eau par les racines et la transpire par les feuilles. Dès qu’elle transpire plus qu’elle n’absorbe, la plante mobilise ses propres réserves en eau. Lorsque la demande diminue la plante reconstitue ses réserves. Ceci se traduit par une variation du volume des cellules et une variation du diamètre des tiges. En effet, Le système PEPISTA est basé sur l’interprétation simultanée des variations de deux mesures biologiques sur une période de 48 heures Katerji, et al. 1994 L’amplitude de contraction AC qui est la différence entre la mesure maximale de début de matinée et la mesure minimale de début d’après midi du même jour. L’AC est une image de l’intensité maximum du déséquilibre normal entre la transpiration des feuilles et l’absorption de l’eau par les racines pendant la période d’une journée, lorsque la demande climatique augmente rayonnement solaire, température.... Par conséquent, l’AC nous permet de savoir si ce stress est lié à un problème d’alimentation en eau ; si cette amplitude augmente, cela signifie que la plante utilise ses réserves d’eau et donc que l’eau n’est pas disponible facilement dans le sol Baranger, 2002 ; La croissance CRJ ou évolution nette c’est la variation de diamètre, mesurée à 6 heures du matin, au cours des 24 heures qui précèdent. L’interprétation de CRJ est très importante car elle donne des indications précieuses sur l’intensité du stress hydrique. Les valeurs positives de CRJ signifient le gain de croissance. A l’opposé, un approvisionnement en eau insuffisant ralentit cette croissance puis la bloque CRJ=0, si le stress hydrique persiste, la plante se déshydrate de plus en plus, et les valeurs de CRJ deviennent négatives. Figure 2 Tendances d’évolution du diamètre d'un tronc. – Matériel de mesure Les instruments utilisés par la méthode PEPISTA sont de plusieurs types § Un boîtier électronique avec un logiciel spécifique, qui est à la fois cœur et cerveau du système. § Capteurs pour mesurer la variation micrométrique de diamètre. § Logiciel sur ordinateur pour visualiser les courbes de croissance. La méthode PEPISTA peut être couplée à d'autres types de capteurs tensiomètre..., et intègre ainsi plusieurs sources d'informations, pour devenir la base d'un ensemble d'outils d'aide à la décision. Le schéma général du système de mesure PEPISTA est illustré par la figure 2. Celle-ci comprend a- un capteur de déplacementb- une visserie pour la fixation du capteur c- un cylindre guide pour le capteur d- une tige INVAR e- une visserie pour la fixation de la tige INVAR f- un ressort de stabilisation g- une tige sensible h- un anneau plastique i- des stabilisateurs j- un stabilisateur supplémentaire en forme de V. Figure 3 Schéma d’un porte-capteur du système PEPISTAUne aiguille de fer doux fixée à l’organe observé se déplace à l’intérieur de l’axe creux de la bobine lors de toute modification du diamètre de la branche Agostini et Fontana, 1992. Le signal électrique correspondant est stocké dans un module d’acquisition de données. La résolution de la mesure permet d’enregistrer toute variation de l’ordre de dix microns Huguet, 1985. Selon la culture, le fournisseur du dendromètre garde l’exclusivité de fixer un seuil d’amplitude de contraction SAC qui traduit l’intensité du stress hydrique dans un contexte donné. Pour la culture des agrumes pratiquée dans la zone étudiée, la valeur pré-définie du SAC est égale à 60, c’est-à-dire qu’une contraction inférieure à 60 micromètres traduit un confort hydrique de l’arbre. En fonction des valeurs de CRJ et AC enregistrées, la méthode du dendromètre donne les messages suivants, présentés au tableau 13 Messages donnés par le dendromètre en fonction de CRJ et de AC. Message du dendromètre Croissance CRJ Contraction AC Forte humidité > 0 ≤ SAC Absence de stress hydrique >0 >0 Début de stress ≤ 0 > SAC Rameau à Croissance Faible > 0 pendant 1 à 2 jours, > ou < au SAC Rameau à Croissance Nulle ≤ 0 < SAC – Les avantages L’avantage de cette méthode est qu’elle s’appuie sur des mesures automatisables non destructives. – Les inconvénients Les inconvénients sont que cette méthode ne donne aucune idée sur l’état hydrique du sol, son application nécessite une détermination préalable de la valeur seuil correspondant à l’apparition de la contrainte hydrique. Or celle-ci varie fortement selon l’espèce, la dimension de l’organe mesuré et présente une variabilité importante entre plantes au sein d’une même population. Vient s’ajouter a cela, la faible technicité des ouvriers et le prix élevé des dendromètres. Quelque soit la méthode adoptée, le pilotage de l’irrigation ne peut se faire de maniére adéquate, que si le réseau d’irrigation est bien entretenu, autrement dit, a quoi sert le calcule de la dose et la fréquence d’irrigation, si on est pas sûr que cette dose sera vraiment donnée à la plante ? I. Opérations de contrôle du réseau d'irrigation 1. Contrôle de la propreté des filtres Avant le démarrage de la motopompe, on nettoiera la purge de l'hydrocyclone et on ouvrira le filtre à lamelles pour contrôler sa propreté. Après démarrage de la motopompe, on pourra lire sur les manomètres la pression indiquée à l'entrée et la sortie du filtre à lamelles figure 11voir fichier pdf si la différence entre ces deux pressions est supérieure à 0,3 bars, il faut procéder au nettoyage. Ce même type de contrôle de la pression à l'entrée et la sortie peut être pratiqué pour d'autres types de filtres filtres à sable et à tamis. Pour l'entretien de l'hydrocyclone, on nettoie la purge ou on ouvre la vanne de décharge. Le contrôle des filtres est fréquent lorsque les eaux d'irrigation sont chargées. 2. Contrôle pression dans le réseau o Contrôler tous les 15 jours le manomètre placé à l'entrée de la station de tête. Pour l'exemple de l'exploitation tomate, la pression doit être de 3,1 bars. Si cette pression n'est pas atteinte, ceci indique qu'un problème existe au niveau de la motopompe qui doit être réparée. o A l'aide des manomètres, contrôler la différence de pression entre l'entrée et la sortie du filtre, si celle-ci est supérieure à 0,3 bars il faut procéder au nettoyage du filtre. o Contrôler la pression à l'entrée et à la sortie de l'injecteur pendant la période de la garantie du matériel, pour voir si l'injecteur s'adapte bien au système et au mode de son installation. o Contrôler la pression à la sortie de la station de tête minimum de 2,2 bars. Si cette pression n'est pas atteinte, c'est qu'il faut revoir les trois premiers contrôles. o Contrôler la pression à l'entrée du secteur doit être de 1,2 bars. Si cette pression est faible et si la pression à la sortie de la station de tête est normale contrôler les fuites le long de la conduite principale ou au niveau des accessoires vanne,…. 3. Contrôle du débit de l'installation Le débit de l'installation sous une pression donnée pourra être mesuré régulièrement à l'aide d'un compteur monté en station de tête. Le volume d'eau délivré au secteur d'irrigation par heure pourra nous permettre de s'apercevoir de la baisse des débits due au colmatage progressif des distributeurs. Ce débit de l'installation pourra être estimé en mesurant le débit d'un échantillon de goutteurs qui fonctionnent bien et le multiplier par le nombre de goutteur par secteur. Cette mesure pourra se faire une à deux fois par an. 4. Contrôle du bouchage des goutteurs et de l'homogénéité de leur débit Ce type de mesure pourra se faire obligatoirement en début de campagne pour les goutteurs déjà utilisés. Il peut être réalisé plus souvent en cas où les distributeurs sont anciens et où le réseau est mal entretenu, et chaque fois qu'on constate une hétérogénéité dans les irrigations. Pour contrôler le débit des goutteurs ainsi que le coefficient d'uniformité de leurs débits, on place un récipient sous le goutteur et à l'aide d'un chronomètre on pourra mesurer le volume d'eau délivré par le goutteur par unité de temps. Ces mesures porteront sur 4 distributeurs par rampe sur au moins 4 rampes. Les rampes choisies sont la 1ère et la dernière rampe ainsi que les rampes situées au 1/3 et au 2/3 de la longueur du porte-rampe. Sur une même rampe on choisira le 1er et le dernier distributeur et les distributeurs localisés au 1/3 et 2/3 de la longueur de rampe. On classe les débits mesurés par ordre croissant. On calcule la moyenne qmin des 4 mesures de débit les plus faibles et la moyenne q de l'ensemble des débits mesurés. Le coefficient d'uniformité CU est égal à CU = qmin/q x 100 Si CU est supérieur à 90, il n'y a pas lieu d'intervenir sur le réseau. Si CU est comprise entre 90 et 70, on doit nettoyer le réseau. Si CU est inférieur à 70, on doit rechercher les causes du colmatage et traiter. Le nettoyage des distributeurs se fera par purge et aussi par de l'eau de javel et de l'acide. 5. Contrôle de l'état des conduites et des accessoires En cas de perte de pression à l'entrée du secteur et si la pression à la sortie de la station de tête est normale, il faut vérifier s’il n'y a pas de fuite dans la conduite principale ou dans les pièces de raccordement et accessoires. On doit alors réparer et remplacer les parties défectueuses. 6. Opérations d'entretiens et de nettoyage L'entretien régulier des éléments du réseau s'effectue, en début, au cours et à la fin de la culture, en vue d'éviter le problème de colmatage des distributeurs. Ce colmatage est lié à la qualité et l'origine de l'eau. L'analyse de l'eau permet de déterminer les risques potentiels de ce colmatage. Il existe trois type de colmatage le colmatage biologique causé par les algues, les bactéries, les champignons; le colmatage physique dû à la présence de dépôt de particule fine, de sable, de limon ou d'argile ainsi que des corps étrangers plastiques,… ; et le colmatage chimique dû au problème de précipitation calcaire, ou cimentation de limon ou d'argile. En général, les eaux de surface oueds, barrage, … renferment des algues, des bactéries, et des composés organiques responsables du colmatage biologique; et des particules très fines responsables du colmatage physique. Les eaux souterraines peuvent être chargées en sable responsable du colmatage physique ou en ions bicarbonates responsables du colmatage chimique. Pour le colmatage physique on doit prévoir un système de filtration composé d'un hydrocyclone et de filtres à tamis ou à lamelles et intervenir par des opérations de nettoyage de filtre et de réseau purge. Pour le colmatage chimique, on doit traiter chimiquement à l'acide pour neutraliser les ions bicarbonates. Pour le colmatage biologique on doit prévoir un système de filtration composé de filtres à sable et de filtres à tamis ou à lamelles. Dans le cas d'utilisation de bassin, il faut le maintenir propre en procédant régulièrement à son nettoyage en réalisant des curages. 7. Traitement chimique de l'eau d'irrigation Le traitement chimique prévoie une injection de l'eau de javel et de l'acide dans l'eau d'irrigation. Pour lutter contre le colmatage biologique, on injecte de l'eau de javel 1 à 5 ppm c'est à dire 1 à 5 g/m3 d'eau. Pour le colmatage chimique, dû au problème de précipitation calcaire, ou cimentation de limon ou d'argile, on doit injecter de l'acide. Au cours de la culture, on injecte l'acide nitrique à raison de 300 ml/m3 d'eau pour traiter les eaux riches en ions bicarbonates. En fin de culture, juste avant la fin des irrigations, on traite à l'acide à 2%o en vue de nettoyer le réseau et surtout les distributeurs. 8. Nettoyage des filtres Lorsque on ouvre le filtre à lamelles et que celui-ci est sale figure 12voir fichier pdf, on sépare les disques ou lamelles entre elles et on envoie un jet d'eau clair en vue d'évacuer les impuretés. Lorsque la pression baisse à la sortie d'un filtre et la différence avec la pression à l'entrée dépasse 0,3 bars, le filtre se colmate, il est nécessaire de le nettoyer. Le nettoyage se fait différemment suivant le type de filtres. Le nettoyage d'un filtre à sable se fait par contre lavage, en faisant passer de l'eau filtrée en sens inverse de la filtration, par un jeu de vannes. Les impuretés sont évacuées à l'extérieur par le courant d'eau. Le lavage du sable du filtre se fera une fois par an et on doit le changer une fois par deux ans. Le nettoyage du filtre à tamis se fait par brossage et rinçage des tamis. La brosse doit être souple et non métallique. Le montage de certains filtres à lamelles permet de faire un flashage pour évacuer les impuretés en ouvrant un robinet situé à la partie basse du filtre. Ce système de flashage pourra être appliqué également pour évacuer le sable déposé dans la purge de l'hydrocyclone. Le nettoyage des filtres à sable, à tamis ou à lamelles peut être automatique. L'automatisation est commandée soit par la différence de pression entre l'entrée et la sortie du filtre, soit par une horloge nettoyage à période fixe. Le nettoyage automatique est conseillé notamment lorsque la qualité de l'eau nécessite plusieurs nettoyages par jour. 9. Vidange et purge du réseau La vidange ou purge du réseau doit se faire à son installation, en début et en fin de culture et chaque fois qu'on intervient ou qu'on répare le réseau. A la première mise en eau et en fin de saison, la purge du réseau se fait dans le but d'évacuer les sédiments qui se sont déposés. En cours de campagne, la purge concerne le nettoyage des rampes et antennes en vue d'assurer un bon fonctionnement des distributeurs. On doit purger les bouts de rampes 1 à 2 fois tous les deux mois. Pour purger le réseau d'un secteur d'irrigation localisée, on ouvre les bouchons des porte-rampes ainsi que les extrémités des rampes et ensuite la vanne. on augmente momentanément la pression de l'eau dans le système lui-même ou à l'aide d'un compresseur surpresseur. Le mélange air-eau est efficace pour déboucher les goutteurs. On laisse couler l'eau jusqu'à ce que celle-ci soit claire. Ce nettoyage du réseau se fait vue d'éviter le bouchage des distributeurs. En cas de fuites dues à des perforations ou casses de conduites ou détérioration des vannes ou autres pièces ou raccords on doit les réparer ou remplacer les parties défectueuses pour éviter les pertes d'eau et de pression et juste après purger le réseau. A la fin de la campagne, après une première purge des antennes à l'eau claire; on injecte l'acide à forte dose descendre jusqu'au pH 2,0 et on s'assure que le dernier goutteur du secteur a bien reçu la solution acide. On laisse l'acide agir pendant 24 heures, on purge et on rince avec une eau ramenée à pH 5,2. Conclusion Après avoir calculé le besoin en eau de la plante, il faut qu’elle soit menée à la plante où elle est plantée et avec un débit convenable, ceci nécessite certaines considérations les ressources hydriques, le climat, la culture, le sol propriétés physiques, sa vitesse d’infiltration…, le choix des distributeurs d’eau, les secteurs d’arrosage, la longueur et diamètre des canalisations, les pertes de charges dans l’exploitation, et l’équipement de la station de pompage. Ainsi, pour mieux gérer l’irrigation d’une culture, il est important d’installer au sein de l’exploitation un ensemble d’outils de pilotage d’irrigation de précision qui permettent de contrôler le système sol-plante-atmosphère. Ces outils doivent être étalonnés avant l’installation et bien entretenu dans le temps. Une étude réalisée l’année dernière par un étudiant du Complexe Horticole d’Agadir, encadré par Monsieur EL Fadl a permis de vérifier que le pilotage d’irrigation doit effectivement s’effectuer en utilisant le tensiomètre ou la sonde d’humidité volumétrique à 30 cm pour déclencher l’irrigation et à 60 cm pour ajuster la dose d’irrigation qui ne doit pas dépasser la dose maximale nette DNM. A l'aide de capteurs enregistrant les variations du diamètre du rameau ou du fruit. Le traitement des données recueillies permet de déterminer à quel moment l’arbre subit une contrainte pouvant affecter la production et de déclencher alors un apport d'eau. l’installation de la station météo au sein de l’exploitation permet la surveillance du climat et par conséquent une estimation du pouvoir évaporant de l’air. En effet le système sol-plante-atmosphère est un système biophysique de nature assez complexe, dans lequel l’arbre joue un rôle lié essentiellement aux conditions environnementales. Le climat détermine le niveau de la demande atmosphérique et le sol conditionne la disponibilité des réserves en eau pour la plante. Une gestion rationnelle devrait donc se baser sur plus d’un seul outil de supervision. si les moyens matériels le permettent, le praticien devait faire appel à un moyen de contrôle de l’eau dans le sol et un autre moyen de suivi du statut hydrique de l’arbre. La complémentarité de ces deux outils ne peut être que bénéfique.
Cet article concerne et illustre quatre cultures spécifiques blé, carotte, pomme de terre et betterave. Pour la page d'homonymie sur l'agriculture, voir Agriculture homonymie. Cultures prêtes à être récoltées. L'agriculture permet au joueur de faire pousser diverses variétés de plantes sur de la terre labourée, lesquelles vont grandir avec le temps et pouvoir être récoltées pour obtenir de la nourriture. Cette page traite de quatre cultures qui partagent d'une manière générale les mêmes mécanismes de croissance, mais qui donnent toutes des résultats différents. Généralités[] Chaque culture nécessite de planter un premier stock de graines » dont l'obtention est plus ou moins aisée. Une fois que les premières graines, la première carotte ou pomme de terre sont plantées, elles finissent par produire davantage de graines ou de légumes qu'il n'y en avait au départ. Celles-ci peuvent être replantées au même endroit, ou à d'autres emplacements vides, jusqu'à former une parcelle de culture. Toutes les quatre cultures peuvent être trouvées dans les fermes des villages. Beaucoup de joueurs choisissent de commencer par la mise en œuvre d'une ferme à blé, pour produire du pain, leur premier élément de nourriture ; cependant, à mesure que le joueur progresse dans le jeu, de nouveaux aliments plus nutritifs se rendent disponibles, et le blé cultivé voit son utilisation changer au profit de l'élevage d'animaux. Les carottes et les pommes de terre ne se rencontrent habituellement qu'un peu plus tard dans le jeu. Le blé pousse à partir de graines, pouvant être collectées en détruisant des herbes hautes. Alors que les herbes hautes abondent dans de nombreux biomes, elles ne donnent pas toujours de graines 10 % de chances ; cependant, l'herbe est moins contraignante à trouver et à miner, rendant sa collecte plus facile. La récolte d'un plant de blé mature donne une unité de blé et 0 à 3 graines. S'il est récolté trop tôt, le plant ne donnera qu'une seule graine et aucun élément de blé. Le blé peut être transformé en pain, ou combiné avec d'autres éléments dans l'établi pour donner un gâteau ou encore des cookies. Alors que le blé lui-même ne peut pas être planté, il peut être utilisé pour faire s'accoupler des vaches, des moutons, et des champimeuhs. Les graines peuvent soit être utilisées pour faire pousser plus de blé, ou pour faire s'accoupler des poules. Les carottes et les pommes de terre ont leurs propres semences, qui ne peuvent pas être trouvées dans la nature. Les zombies tués abandonnent occasionnellement une carotte ou une pomme de terre, qui peut ensuite être cultivée et multipliée, ou ces dernières peuvent être trouvées dans les fermes des villages. Chaque plant mature peut être récolté pour obtenir entre 1 et 4 pommes de terre ou carottes. Un plant de pomme de terre a également 2 % de chances supplémentaires de donner une pomme de terre empoisonnée, qui empoisonne le joueur si elle est consommée. Les carottes et pommes de terre peuvent être consommées directement, mais les pommes de terre peuvent également être cuites pour une meilleure valeur nutritive, alors que les carottes peuvent être utilisées pour faire se reproduire ou contrôler des cochons et des lapins, ou être transformées en carottes dorées. Les cochons peuvent aussi être élevés et conduits avec des pommes de terre.[Version Bedrock uniquement] Les betteraves poussent également à partir de graines, trouvées dans les coffres bonus ou dans les fermes des villages. Les betteraves peuvent servir à élever des cochons, à être consommées directement ou être transformées en soupe de betteraves. Préparation du sol et semis[] Des graines sur un bloc de terre labourée déshydraté Les cultures peuvent uniquement pousser sur de la terre labourée, générée en utilisant une houe sur de la terre ou de l'herbe. De l'eau, statique ou en mouvement, doit être proche des plantations pour fertiliser et irriguer le terrain. Un bloc d'eau fertilise jusqu’à 4 blocs de terre labourée dans les 4 directions y compris en diagonale. La terre labourée parvient à se dessécher – se transformer en terre normale – lorsqu’aucune culture n'est plantée généralement si elle n'est pas irriguée. Un terrain idéal est labouré en carré 9×9, avec un bloc rempli d'eau au milieu. Ce qui fait 80 plantations. Laisser l'eau à l'air libre fait courir le risque de tomber dedans et de détruire des cultures en voulant en sortir. L'eau peut donc être recouverte de n'importe quel bloc, mais l'utilisation de dalles, de tapis, nénuphars, ou d'autres blocs qui peuvent être enjambés sans sauter est le meilleur moyen d'éviter de piétiner les plantations. Dans les biomes froids, l'eau peut être protégée contre le gel en la recouvrant d'un bloc solide. Placer des torches ou d'autres sources de lumière près des cultures leur permet de continuer de grandir la nuit ou en sous-sol, et empêche les créatures hostiles d'apparaître aux alentours. Mettre en place des rangées de cultures alternées accélère également leur croissance. Croissance et récolte[] Des cultures prêtes à être récoltées. Les cultures ne grandissent que lorsque les conditions suivantes sont réunies Elles se trouvent sur un bloc de terre labourée. Si celui-ci est retiré ou s'il se détériore en bloc terre non labourée, la culture sera détruite. La terre labourée ne doit pas nécessairement être hydratée dans la mesure où celle-ci ne reviendra pas à la normale si une culture occupe l'espace, jusqu'à ce qu'elle soit récoltée. Une agriculture sèche » fait croître les cultures très lentement y compris dans le Nether. Elles doivent recevoir un éclairage de niveau 9 ou plus. L'éclairage n'a pas besoin d'être naturel. Cela veut dire qu'un bloc opaque au-dessus d'une culture possédant en lui un niveau de lumière de 0 empêchera la croissance alors qu'un bloc transparent peut permettre la croissance si le niveau de lumière du bloc est suffisant. Un joueur doit se trouver dans un des 7 tronçons environnants ≈120 blocs, chargés et prêts à être mis à jour. En solo, le joueur ne doit pas être en train de dormir. Les cultures n'ont pas besoin d'eau pour grandir. Toutes les cultures ont un total de 8 stades de croissance. Pour le blé, chaque stade supplémentaire fait grandir et assombrit un peu plus la culture, jusqu'à ce qu'elle devienne marron. Les carottes et les pommes de terre n'ont que 4 apparences distinctes – les premiers stades apparaissent deux fois de suite à l'identique excepté que le 7ème stade partage l'apparence des cinquièmes et sixièmes. À maturité 8ème stade, le plant présente des carottes ou des pommes de terre qui dépassent du sol. La croissance a lieu à des intervalles aléatoires et est affectée par certaines conditions. La durée moyenne de chaque étape va de 5 minutes en conditions idéales à 35 minutes dans les conditions les plus défavorables. En plus d'être placées sur de la terre labourée hydratée, des conditions idéales » de croissance des cultures impliquent la présence de sources lumineuses pour la croissance de nuit et un agencement par l'alternance des rangées chaque rangée de cultures doit être adjacente à un autre type de cultures ou à de la terre labourée inoccupée. Effectuer un clic-droit sur n'importe quelle culture avec de la poudre d'os a pour effet d'accélérer sa croissance en passant une étape, ce qui s'avère utile pour accélérer la première multiplication d'un stock de graines. Les cultures peuvent être récoltées n'importe quand et avec n'importe quel outil, en utilisant le clic gauche. Cependant, elles ne produiront du blé que quand elles seront passées du vert au marron. Récolter des cultures à ce moment-là produira entre 0 et 3 graines, et une unité de blé sous forme d'objet. Les plants de carottes et de pommes de terre donnent quant à eux 1 à 4 nouvelles carottes ou pommes de terre sous forme d'objet. Un plant de pomme de terre a également 2 % de chances de donner une pomme de terre empoisonnée en plus de pommes de terre normales. Note Dans les précédentes versions du jeu, comme la /indev/, le blé avait un niveau de croissance en moins l'étape 0x7 dans l'image ci-dessus, ce qui rendait possible la récolte dès l'étape 0x6. L'écran de débogage permet de connaître le chiffre 0xX en regardant la ligne "age" tout en pointant du blé. Parce que la récolte manuelle plantation après plantation peut vite devenir fastidieuse, des méthodes de récolte automatique de champs ont été développées. La tactique la plus courante est d'inonder le champ avec de l'eau qui récolte toutes les plantes sur son passage, mais d'autres méthodes sont possibles comme l'utilisation de circuits de redstone. Luminosité[] Certaines culture ne peuvent pas être plantées et ne peuvent pas pousser dans l'End en l'absence de lumière. Sans lumière Avec lumière Peut être planté Peut pousser sans poudre d'os Peut être planté Peut pousser Graines de blé Non Non Oui Oui Graines de betterave Non Non Oui Oui Pomme de terre Non Non Oui Oui Carottes Non Non Oui Oui Graines de citrouille Oui Non Oui Oui Graines de pastèque Oui Non Oui Oui Cactus Oui Oui Oui Oui Fèves de cacao Oui Oui Oui Oui Champignons se propager Oui Oui Oui Oui Bloc d'herbe se propager N/A Non N/A Oui Verrues du Nether Oui Oui Oui Oui Pousse d'arbre Non Non Oui Oui Taux de croissance[] Cette section est vide, incomplète, insuffisamment détaillée ou plus à jour. Votre aide est la bienvenue ! Pour une croissance plus rapide, de la terre labourée hydratée avec des cultures sur tous les blocs voisins ou en lignes est l'idéal. Cela augmente le taux de croissance au maximum, soit comme décrit dans le pseudo-code ci-dessous. Ce code est utilisé à chaque fois qu'un bloc de cultures est créé, lequel va croître ensuite, si un nombre aléatoire généré entre 0 et int100/growthRate vaut 0. def get_growth_ratecrop if block_belowcrop.is_watered growth_rate = else growth_rate = for neighbor in horizontal_neighborscrop if if block_belowneighbor.is_watered growth_rate += else growth_rate += if crops_on_x_neighborscrop and crops_on_y_neighborscrop or crops_on_x_y_neighborscrop growth_rate = growth_rate / return growth_rate Note depuis la version Bêta il est possible d'utiliser de la poudre d'os pour fertiliser les cultures, ce qui permet de les récolter instantanément. Note depuis la version Bêta les cultures grandissent un peu plus vite. Note depuis la version il faut plusieurs poudre d'os pour fertiliser les cultures. Organisations optimales[] Les organisations suivantes montrent comment placer les cultures sur des blocs pour obtenir un taux de croissance de 4,5 sur le bloc du milieu ou Une organisation sous-optimale[] L'organisation suivante mène à un taux de croissance divisé par deux pour le bloc du milieu voir la dernière partie du pseudo-code, dans la section précédente Notes[] Afin de récolter plus rapidement, on peut utiliser des pistons comme le montre cette vidéo vidéo sur youtube De la terre labourée située à une altitude y=1 ne permet pas de faire pousser de culture. Le blé ne se plante pas dans l'end. Gameplay Modes de jeu Aventure Créatif Hardcore Survie Spectateur Élémentsde gameplay Apparition Attributs Circuits de redstone Coffres bonus Commandes Tableau de score Fonction Cycle jour/nuit Difficulté Effets de potions Interface utilisateur Inventaire Langues Matériaux Multijoueur Progrès Succès Rareté Récompenses coffres Règle du sud-est Ressources renouvelables Statistiques Tutoriel d'indices Vue à la troisième personne Survie Agriculture Alchimie Commerce Cuisson Durabilité des objets Élevage Enchantement Expérience Fabrication Livre de recettes Faim Minage Patrouille d'illageois Pêche Invasion Réparation d'objet Siège de zombies Vie Combat Blocage Dégâts Coups critiques Rechargement des attaques Récompenses Système à deux mains Mouvement Courir Moyens de transport Nager Planer S'accroupir Voler Tutoriels Commencement Guide de survie Le deuxième jour Les jours suivants Navigation Techniques de minage Abris Choses à ne PAS faire Bâtiment et construction Types d'abri Organisation Organiser sa maison Général Sas Ascenseur d'eau Mesurer les distances Choisir un combustible Construction de maisons sûres Combat Expérience nomade Expérience alternative L'End et l'Ender Dragon Survie dans le Nether Survivre sur un monde plat Survie en mode Aventure Porte maritime Conseils et astuces Choses à faire lorsque vous vous ennuyez Comment trouver des cavernes Pilier Succès Loups Gare Activer les commandes en mode Survie Portail du Nether Unités de mesure Exploitation,culture et minage Exploiter les créatures hostiles Exploiter les générateurs de monstres Cultiver des cactus Cultiver des arbres Cultiver des champignons Ferme à Endermen Ferme à œufs Ferme à poudre d'os Culture de disques de musique Cultiver la pierre Carrière Cultiver l'obsidienne Puits de mine vertical avec eau Diamants Ferme à neige Agriculture Culture du cacao Culture des fleurs Usine automatisée Construction Jardin à la française Maison sous l'eau Motifs en terre cuite émaillée Mécanismes Mécanismes Pièges Mécanismes électroniques avancés Wagonnets Canons à TNT Circuits de redstone simples Télégraphe en redstone BUD Switch CUD Switch Tutoriels techniques Comment installer une snapshot Comment installer OptiFine Comment installer Forge Comment installer des mods avec Forge Comment installer un shader Créer un pack de données Installer un pack de données Charger un pack de ressources Modder avec MCreator Faire de la musique de jeu personnalisée Téléchargement de cartes Configurer un serveur Configurer un serveur sous CraftBukkit Sauvegarder vos données de cartes sur un RAM-disque Sauvegarder vos données de cartes vers le Cloud computing avec Dropbox Sauvegarder vos données de mondes vers Dropbox Répertoire des sons de Minecraft Mettre à jour Java Foire aux questions de Minecraft Tutoriels obsolètes Booster Mettre LWJGL à jour
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