Le 1er site d’information sur l’actualité. Retrouvez ici une archive du 25 juin 1954 sur le sujet VICTOR HUGO A-T-IL ÉTÉ CATHOLIQUE ? VictorHugo, Les voix intérieures. Imprimer ce poème . Catégories Victor Hugo, Lieux, Ville. 19 commentaires sur “À l’Arc de triomphe” azerty dit : 10 juin 2022 à 16:42. ay ayt ay je de l’inspi pour mon rap s/o hugo mrc poto pour ton poeme vive la fransse jme sens taillement frè mai tenant. Lina dit : 1 juin 2022 à 16:14. Il est magnifique ce poème ! Manal dit : 5 mars 2022 à ParAmélie Vioux. Voici un résumé et une analyse (fiche de lecture) des livres I à IV des Contemplations de Victor Hugo. Les Contemplations (1856) forment un recueil d’une grande richesse puisqu’elles font voir vingt-six années de la vie de Victor Hugo. Comme le poète l’indique dans sa préface, il s’agit des « Mémoires d’une Onvit, on parle, on a le ciel et les nuages. Sur la tête; on se plaît aux livres des vieux sages; On lit Virgile et Dante; on va joyeusement. En voiture publique à quelque endroit charmant, En riant aux éclats de l'auberge et du gîte; Le regard d'une femme en passant vous agite; On aime, on est aimé, bonheur qui manque aux rois! Ilest temps d’analyser en profondeur le mystère de ce phénomène : Éric Zemmour attire les électeurs et les lecteurs comme un aimant et ces admirateurs et admiratrices donnent l’impression d’avoir longtemps attendu un tel discours politique qui leur parle et les remobilise. Chaque fois qu’un simple citoyen est interrogé sur cette attirance presque irrésistible, la Nerêvez pas, Julien ! On vit une époque formidable : au petit peuple, le secours quotidien en faveur des « restos du cœur », le Secours oqa6B. Les grandsclassiques Poésie Française 1 er site français de poésie Résumé du document À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt » nous présente deux cavaliers, apparaissant, l'un sous la forme d'un je », l'autre sous le prénom d'Hermann, galopant dans la forêt dans une scène nocturne. Alors qu'ils ne cessent de galoper, un dialogue semble se créer entre eux. Mais ce dialogue est étrange, leurs propos se contredisent absolument, tout d'abord assez brièvement puis avec de plus en plus d'ampleur. Leur sujet de discussion l'affliction causée par la vie, le malheur de la mort. Dès, lors, comment comprendre qu'un poème écrit avant la mort du son ange » soit placé au cœur du recueil dédié à la douleur paternelle du deuil ? Quelle intimité nous livre ici le poète, à quoi renvoie le je » et le personnage d'Hermann présents dans le poème ? Ne retrouve-t-on pas dans ce poème le bouleversement propre à l'état d'esprit du deuil, la désorientation du poète et de ce qui l'entoure ? Extraits [...] Ainsi ce poème, bien qu'écrit avant la mort de Léopoldine s'insère de manière efficace dans le livre 4. Celui-ci est en effet le livre du deuil or dans ce poème, la désorientation est présente partout, le bouleversement de tout ce qui est communément admis, touchant la nature évoquée dans le poème mais encore le lecteur lui-même, semble bien montrer un monde qui a perdu ses repères, un monde instable c'est-à-dire l'esprit endeuillé du père. De plus, dans ce poème Hugo nous livre son intimité la plus profonde puisqu'il s'agit ici d'un songe Hermann et le je ne dialogue en fait pas mais disent en rêve, comme le montre le dernier vers, plaçant le mot rêve à la césure et les voix à la rime. [...] [...] Venons-en maintenant à la figure d'Hermann, ainsi qu'à celle du je Nous l'avons dit à propos d'Hermann, le verbe paraître lui confère une existence assujettie à la vision subjective du je dissimulé derrière le pronom réfléchi me Mais ce n'est pas tout la description du me je fais d'Hermann une ombre or, une ombre n'est pas matière, n'est pas corps. De même au vers 8 le poète écrit l'esprit profond d'Hermann est vide d'espérance encore une fois il est évoqué par son esprit. A-t-il un corps ? Hermann a-t-il une existence, est-il réellement un personnage, où n'est-il que le produit d'une imagination ? Car enfin ses uniques manifestations sont orales, il semble n'être qu'une voix. Hermann ne serait-il qu'une projection mentale lui aussi, créé par le poète au même titre que les images décrivant la nature ? [...] [...] Tout résonne comme dans un lieu sans fin, sans cloison. D'ailleurs les repères qui permettent ordinairement de se situer dans la nature, à savoir les astres, sont eux-mêmes source d'égarement puisque les étoiles volaient dans les banches des arbres impossible donc de se fier aux astres pour s'orienter. D'ailleurs les cavaliers ne viennent de nulle part, semble-t-il, et ne vont nulle part la traversée de la forêt, évoquée aux vers 3 et 14, ne semble jamais dirigée. Au vers 3 on nous dit Nos chevaux galopaient aucun complément circonstanciel n'est là pour indiquer vers où. [...] [...] Enfin on retrouve dans A quoi songeait les deux cavaliers dans la forêt le poète que l'on avait déjà dans Trois ans après et qui ne se sent plus capable de la grande poésie inspirée à laquelle il se livrait par le passé, sous l'expérience des tables tournantes dans notre poème Hugo ne perçoit plus ce que lui dit la nature, les voix autrefois si claires ne sont plus qu'un murmure, qu'un balbutiement. Enfin, le poème se clôt sur Comme à travers un rêve ils [les morts] entendent nos voix livrant sont rêve Hugo espère donc que Léopoldine l'entende, Hugo se fait donc fantôme communicant avec les morts, et dispersant par là son moi poétique dans l'infini, accomplissant ainsi le programme qu'il s'est fixé dans la préface. [...] [...] La cinquième débute par Hermann reprit alors [ ] les guillemets s'ouvrent et ne se referment qu'à la fin de la strophe, au vers 24. La sixième fait de même, s'ouvrant sur Et je lui dis [ ] et ne se refermant qu'avec la fin de la prise de parole du je Aussi le lecteur a-t-il de quoi être surpris non seulement de la différence de traitement du poème XI et du poème XII, l'un évoquant un quotidien compréhensible par tous, l'autre traitant d'une scène nocturne se déroulant dans la forêt entre deux cavaliers mais aussi de ce que le poème ne lui parle pas directement à lui lecteur, mais entretiennent un discours en son sein, entre deux personnages qui peuvent lui paraître bien étrangers. [...] Les grandsclassiques Poésie Française 1 er site français de poésie Les Grands classiques Tous les auteurs Victor HUGO On vit, on parle... On vit, on parle... On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sur la tête ; on se plaît aux livres des vieux sages ; On lit Virgile et Dante ; on va joyeusement En voiture publique à quelque endroit charmant, En riant aux éclats de l'auberge et du gîte ; Le regard d'une femme en passant vous agite ; On aime, on est aimé, bonheur qui manque aux rois ! On écoute le chant des oiseaux dans les bois Le matin, on s'éveille, et toute une famille Vous embrasse, une mère, une soeur, une fille ! On déjeune en lisant son journal. Tout le jour On mêle à sa pensée espoir, travail, amour ; La vie arrive avec ses passions troublées ; On jette sa parole aux sombres assemblées ; Devant le but qu'on veut et le sort qui vous prend, On se sent faible et fort, on est petit et grand ; On est flot dans la foule, âme dans la tempête ; Tout vient et passe ; on est en deuil, on est en fête ; On arrive, on recule, on lutte avec effort... - Puis, le vaste et profond silence de la mort ! Le matin – En dormantJ’entends des voix. Lueurs à travers ma cloche est en branle à l’église des baigneurs. Plus près ! plus loin ! non, par ici !Non, par là ! Les oiseaux gazouillent, Jeanne l’appelle. Chant des coqs. Une truelleRacle un toit. Des chevaux passent dans la d’une faux qui coupe le Rumeurs. Des couvreurs marchent sur la du port. Sifflement des machines militaire arrivant par sur le quai. Voix françaises. Adieu. Sans doute il est tard, car voiciQue vient tout près de moi chanter mon de marteaux lointains dans une clapote. On entend haleter un mouche entre. Souffle immense de la Hugo

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